Aux États-Unis, le président syrien al-Charaa n'obtient qu'une levée temporaire des sanctions
À la suite de la rencontre entre Ahmed al-Charaa et Donald Trump à Washington, l'ambassade de Syrie aux États-Unis va reprendre l'essentiel de ses opérations. Mais sur le volet des sanctions qui grèvent toujours l'économie syrienne, et malgré la bonne volonté du président américain, Ahmed al-Charaa va devoir se contenter d'un moratoire de six mois. Alors que c'est la priorité numéro 1 du nouveau régime syrien afin de relancer son économie minée par dix ans de guerre civile.