Cannes 2025 : pour la Quinzaine des cinéastes, une édition sous le signe du doute et de l’éparpillement
Dans sa volonté de recentrage vers des genres moins austères, et malgré des films très forts comme « Yes », de Nadav Lapid, « L’Engloutie », de Louise Hémon, ou « Miroirs n° 3 », de Christian Petzold, la sélection parallèle cannoise n’a pas toujours su viser juste.
Dans sa volonté de recentrage vers des genres moins austères, et malgré des films très forts comme « Yes », de Nadav Lapid, « L’Engloutie », de Louise Hémon, ou « Miroirs n° 3 », de Christian Petzold, la sélection parallèle cannoise n’a pas toujours su viser juste.
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Tomas Kauer - News Moderator
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