Face à Moscou, les vignerons géorgiens dégustent : « Il faut en finir avec notre dépendance au marché russe. Sinon, on risque de perdre notre identité »
L’expansionnisme de Vladimir Poutine ne facilite pas la tâche des producteurs de vin géorgiens, très dépendants du marché russe : après avoir subi un sévère embargo de la part de Moscou entre 2006 et 2013, ils s’interrogent sur l’opportunité d’un boycott en réponse à l’agression de l’Ukraine. Encore faut-il avoir les reins suffisamment solides économiquement…

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