« La colère est devenue, de Trump à Le Pen, une arme puissante pour l’extrême droite »
Des émotions comme la colère peuvent anesthésier la réflexion, faire oublier les faits, et même déclencher un vote contre ses propres intérêts, constate dans sa chronique Philippe Bernard, éditorialiste au « Monde ».
Des émotions comme la colère peuvent anesthésier la réflexion, faire oublier les faits, et même déclencher un vote contre ses propres intérêts, constate dans sa chronique Philippe Bernard, éditorialiste au « Monde ».
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Tomas Kauer - News Moderator
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