« Les accusations de proximité avec la Russie ne suffisent pas à freiner l’avancée des pouvoirs autoritaires partout dans le monde »

Dans une tribune au « Monde », l’universitaire polonais Maciej Kisilowski appelle à ne pas considérer l’ingérence russe comme la principale menace qui pèse sur la politique européenne. A ses yeux, le vrai danger réside dans l’essor des idées populistes et dans l’incapacité du camp progressiste à comprendre ses électeurs.
Tomas Kauer - News Moderator
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