Référendum en Guinée: des journalistes dénoncent des conditions «liberticides» de couverture médiatique
En Guinée, alors que la campagne pour le référendum constitutionnel s’ouvre ce dimanche 31 août, les médias ont reçu jeudi l’ordre de ne pas donner la parole aux partis d’opposition suspendus ou dissous. « Les partis politiques et structures en conflit avec la loi, qui sont interdits de fonctionner, ne doivent pas s’exprimer », a prévenu la Haute autorité de la communication, ajoutant que leur donner la parole constituerait « une infraction ». Mais cette décision est jugée « liberticide » par l’Union des journalistes de la presse libre africaine.
En Guinée, alors que la campagne pour le référendum constitutionnel s’ouvre ce dimanche 31 août, les médias ont reçu jeudi l’ordre de ne pas donner la parole aux partis d’opposition suspendus ou dissous. « Les partis politiques et structures en conflit avec la loi, qui sont interdits de fonctionner, ne doivent pas s’exprimer », a prévenu la Haute autorité de la communication, ajoutant que leur donner la parole constituerait « une infraction ». Mais cette décision est jugée « liberticide » par l’Union des journalistes de la presse libre africaine.
Tomas Kauer - News Moderator
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