Au procès de Lafarge, la question centrale du dossier : les anciens dirigeants du groupe avaient-ils conscience de financer des organisations terroristes ?
Le tribunal a ouvert, lundi, le chapitre des groupes armés auxquels le cimentier a versé des pots-de-vin pour maintenir son activité en Syrie. Certains prévenus ont admis qu’ils savaient qu’un de ces groupes, au moins, était classé comme « terroriste » à l’époque des faits.
Tomas Kauer - News Moderator
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